Mod'Arts » » Art | Mod'Arts https://modarts.fr La jeune création se met en scène à Bordeaux Thu, 23 Oct 2014 12:44:02 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.0 Salon des créateurs et des ateliers d’art https://modarts.fr/salon-des-createurs-et-des-ateliers-dart-2/ https://modarts.fr/salon-des-createurs-et-des-ateliers-dart-2/#comments Thu, 16 Oct 2014 09:21:35 +0000 https://modarts.fr/?p=1385 584x118_SCAA_2014_bordeaux_02    Après le succès rencontré en 2013, Ateliers d’Art de France lance la septième édition du Salon des Créateurs et des Ateliers d’Art de Bordeaux du 14 au 16 […]]]> 584x118_SCAA_2014_bordeaux_02

 

 

Après le succès rencontré en 2013, Ateliers d’Art de France lance la septième édition du Salon des Créateurs et des Ateliers d’Art de Bordeaux du 14 au 16 novembre 2014, dans une optique toujours plus affirmée de valorisation de la création locale.

Créations Oscar Galéa

Créations Oscar Galéa

Une centaine de créateurs de pièces métiers d’art investiront le Hangar 14 pour proposer aux visiteurs aquitains, leurs créations en pièces uniques ou en séries limitées.

Répartis en 5 univers : art de la table, bijoux, mode et accessoires, luminaires, intérieur et décoration; le salon met à l’honneur la diversité des savoir-faire et le dynamisme des artisans d’art locaux, avec notamment le pavillon aquitain qui réunira le meilleur de la création de la région.

Le salon des Créateurs et des Ateliers d’Art, c’est aussi un moment unique pour appréhender les métiers d’art dans leur dynamique culturelle et pédagogique.

SCAA BORDEAUX (c) Collectif Transit

 Une exposition éclectique sur le thème des « Arts du Feu »

Pour sa septième édition, le salon aura pour thème les “Arts du feu”. Pour l’occasion, une exposition mettra en lumière des oeuvres monumentales de Dark Nes (designer métal), Alain Denis (sculpteur et céramiste) et Diane de Castejà (maître verrier). Et, cette année encore, la créativité et le savoir-faire des élèves du lycée Toulouse-Lautrec seront mis à contribution pour la confection du mobilier des espaces détente.

Exposition des tableaux de Patrick Hauselmann

Célèbre graphiste et illustrateur en publicité, Patrick Hauselmann s’illustre en peinture. Il a été exposé dans plusieurs galeries de la région (Bordeaux, le Cap-Ferret, Biarritz, Saint-Jean de Luz,) et ses tableaux orneront l’entrée du salon.

Débats et ateliers enfants

La dimension pédagogique des métiers d’art s’illustrera à travers une table ronde animée par Simon Peyrard (Conseil Régional d’Aquitaine) et Cap Métier (Portail régional de l’information sur la formation et les métiers) autour des métiers d’art et plus particulièrement ceux de la terre, métal, bois et verre. Pour l’occasion, Jean-François Bourlard (terre), Georges Beaudot (bois) Roland Daraspe (métal) et Diane Casteja (verre) expliqueront leur parcours, et leur métier afin faire naître des vocations.

Les parents et les enfants pourront participer ensemble à des activités ludiques de découverte des métiers d’art. Zina-O, sculpteur et conteur, animera des ateliers de modelage, où elle fera partager sa passion pour la terre. Frédéric Mathieu, quant à lui, partagera ses talents d’illustrateur en customisant les photographies des visiteurs avec ses dessins qui habilleront portraits de famille ou photos de vacances.

Téléchargez le communiqué de presse : CP Salon Bordeaux

Informations pratiques
Hangar 14
Quai des Chartrons
33 000 Bordeaux

  • Vernissage : vendredi 14 novembre à partir de 11 h
  • Horaires d’ouverture : vendredi 14 novembre de 10 h à 21 h -> nocturne
    Samedi 15 et dimanche 16 novembre de 10 h à 19 h
  • Tarifs :
    Plein tarif : 6,50 €
    Tarif réduit (sur inscription en ligne ou sur présentation du flyer pré-rempli) : 4 €
    Gratuit pour les moins de 18 ans
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Le pouvoir des fleurs https://modarts.fr/le-pouvoir-des-fleurs/ https://modarts.fr/le-pouvoir-des-fleurs/#comments Thu, 10 Jul 2014 11:11:15 +0000 https://modarts.fr/?p=1290 BippityMag-Mysticbride-3Un parcours coloré De la petite couronne de fleurs pour un anniversaire, à une composition pour un mariage fabuleux, Céline Zilly sait tout faire. Vraiment. C’est au cœur du quartier […]]]> BippityMag-Mysticbride-3

Un parcours coloré

AnLalemantPhotographyPowWowParty (74 of 88)De la petite couronne de fleurs pour un anniversaire, à une composition pour un mariage fabuleux, Céline Zilly sait tout faire. Vraiment.

C’est au cœur du quartier de Sainte-Croix à Bordeaux,  que Céline Zilly, a installer son atelier, romantique et rock’n’roll : Lady Brindille.

Lors de ses différentes aventures, elle a appris à exercer le métier de fleuriste tout autour du monde, passant de l’Australie où elle se découvre une passion, aux jardins de Disneyland Paris, où elle se perfectionne, ainsi qu’aux ateliers de InWaterFlowers à Londres où elle gère la décoration de grands hôtels, et même de Harrods …

Elle se forge une expérience, et revient à Bordeaux, avec deux idées en tête : Revenir à ses racines et partager.

« Je ne fais que du sur-mesure, dit Céline Zilly, le client me parle de la prestation, de l’événement, de la cérémonie, du thème, me précise les fleurs qu’il aime, puis sur cette base je lui montre des photos d’ambiance, l’important est dans le relationnel, discuter avec les gens, voir les lieux. »

Une fleuriste sur mesure et anti-conventionnelle

10476505_879586805402092_2465197121770001052_nEn véritable amoureuse , elle réalise des mises en scène florales pour de grands évènements, comme pour la vie quotidienne, du mariage somptueux, à la plus simple couronne de fleurs , c’est toujours le même savoir- faire et la même passion qui l’anime.

Décidée, curieuse et inventive, elle tire sa créativité de ce qui l’entoure, ce qui la passionne, des gens, des ambiances…

Elle aime créer des atmosphères étonnantes, surprendre tout en s’adaptant au mieux aux exigences de ces clientes afin d’avoir des résultats toujours uniques et pleins de charme.

Son  local est un véritable cabinet de curiosités, c’est un “endroit qui lui ressemble et qui l’inspire”.

Et pour la suite ?

Vous pourrez découvrir des exemples de son savoir-faire au Big Festival (le 18 et le 19 juillet à Biarritz) où elle organise un atelier de confection de couronne de fleurs entre mère set filles, et vente aux festivaliers, dans une atmosphère détendue et bon enfant.

On la retrouve aussi au Andy Festival, à Paris, en novembre 2014, accompagnée de ses amies , Le Ruban Collectif, où ces artistes authentiques, d’un horizon différents souffleront un petit vent de folie, et de modernité.

L’hôtel Maison de Bordeaux et La Grenadine sont  ses premiers clients mais elle décore également les magasins, les salons.

Céline Zilly est partante pour tous les défis, l’important c’est le feeling; quelle que soit l’occasion, son envie : transformer nos songeries en réalité.

Site internet : Lady Brindille
Facebook : Lady Brindille

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Rencontre avec Clémence Le Divelec, fondatrice de Pulpe et du blog Trendy Corner https://modarts.fr/rencontre-avec-clemence-le-divelec-fondatrice-de-pulpe-et-du-blog-trendy-corner/ https://modarts.fr/rencontre-avec-clemence-le-divelec-fondatrice-de-pulpe-et-du-blog-trendy-corner/#comments Thu, 26 Jun 2014 12:36:39 +0000 https://modarts.fr/?p=1256 pulpe_1Qui est elle ? Après avoir vécu à Paris, Toulouse, Lyon, Clémence repose ses valises à Bordeaux, et compte bien s’y développer. Passionnante et passionnée, cette autodidacte de la région à […]]]> pulpe_1

Qui est elle ?

Après avoir vécu à Paris, Toulouse, Lyon, Clémence repose ses valises à Bordeaux, et compte bien s’y développer.

Passionnante et passionnée, cette autodidacte de la région à plusieurs cordes à son arc, à la fois, blogueuse en vogue avec The Trendy Corner , à la tête de son agence Kokoon Evenementiel, elle est désormais la fondatrice de l’annuaire Pulpe.

Elle commence toute seule, par envie d’abord, par nécessité ensuite, celle de réveiller la « Belle Endormie »

Le projet Pulpe

Financé grâce à My Major Company, grâce à beaucoup d’audace et d’investissement personnel, le projet Pulpe, c’est :

Un annuaire gratuit de créateurs, déjà disponible sous format papier et web imprimé à 4000 exemplaires qui a pour vocation de promouvoir le fait main et l’artisanat Français, «une manière de les encourager, de rendre hommage à leur savoir-faire et de les aider à se faire connaître».

Pulpe est le premier annuaire existant qui recense les créateurs d’une même région, c’est le moyen de « leur donnera une nouvelle visibilité auprès d’un public proche, mais aussi offrira une vision neuve et actuelle de la région auprès de ses habitants ».

 La victoire de Pulpe dans la catégorie « Art » du concours Paulette for rêveur, l’a conforté dans l’importance de son projet et l’a aidé à gagner en crédibilité. Évidemment c’est sur l’Aquitaine que la 1re édition s’est portée, car il s’agit de la région des créateurs du projet.

Le Lancement de Pulpe

Le lancement de Pulpe, édition Aquitaine s’est déroulé à l’Iboat où se tenait un mini-marché de créateurs présents dans l’annuaire, discutant de leurs créations et leur univers autour d’un verre en toute convivialité. Plus de 500 personnes ont fait le déplacement ! Un pari réussi.

Soirée de lancement | PULPE | 22 mai – Iboat from Héléna Guhéneuf on Vimeo.

 Les Créateurs

Pour cette 1re édition, Pulpe a dégoté la crème des créateurs, du Sud-Ouest. Pour les choisir,  Clémence nous confie avoir marché à l’instinct, aux coups de cœur, au fil des rencontres et des opportunités. Pulpe est un projet indépendant, avec une identité forte, le choix des créateurs a donc été primordial.

On retrouve donc dans ce petit carnet très stylisé un concentré des marques de la région, comme : April & Me, Lady Brindille, Little Bacon, Riverside Press, ou même Someone Shoes pour n’en citer qu’une partie.

 Et ensuite ?

Pleine d’énergie, elle nous a parlé de son annuaire avec fierté, n’oubliant pas de rappeler l’importance de ses collaborateurs, sans qui rien n’aurait été possible. Pour cet esprit libre, l’important est de rester ouverte, continuer à vivre des aventures passionnantes et que son projet reste viable.

Après le véritable succès de l’annuaire Pulpe dans le Sud-Ouest, le prochain annuaire s’attaquera à la région Ile-de-France, c’est un véritable défi qui attend l’équipe, forte de son premier succès. Vous l’aurez donc compris, à chaque région son annuaire !

Affaire à suivre de très près !

Où trouver Pulpe ?

À Bordeaux :

Bye-Bye Bandit – 26 rue de la Devise
Mint Bazar – 48 rue du Pas Saint Georges
Les filles au balcon – 29 rue de Cheverus
EDITO by Vania Laporte – 21 rue Saint James
Bidules et Merveilles – 75 rue des Ayres
Maiadress Bordeaux – 24 Allées de Tourny
Little Fabrik – 17 rue Fondaudège

Sur la côte basque :

Girlshop Anglet- 47 avenue de la chambre d’amour – Anglet
Made with love – 69 quai de la pêcherie – Capbreton
Au Pigeonnier – 8 Avenue Jaulerry – Biarritz
Chez Modjo – 5 rue Gardères – Biarritz

Découvrez également l’annuaire sur Facebook et  Twitter .

 

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Le Week-end des jeunes créateurs au Quartier moderne https://modarts.fr/le-week-end-des-jeunes-createurs-au-quartier-moderne/ https://modarts.fr/le-week-end-des-jeunes-createurs-au-quartier-moderne/#comments Mon, 02 Jun 2014 12:06:58 +0000 https://modarts.fr/?p=1225 quartier modernePour la 6ème édition, le Quartier Moderne (ex- Les Martines) accueillera une quarantaine de créateurs dans l’univers de la mode au domaine de Larbéou à Bayonne les 7 et 8 […]]]> quartier moderne

Pour la 6ème édition, le Quartier Moderne (ex- Les Martines) accueillera une quarantaine de créateurs dans l’univers de la mode au domaine de Larbéou à Bayonne les 7 et 8 juin.

Plus de 40 jeunes créateurs contemporains dans l’univers de la couture, de l’accessoire, de la beauté et du graphisme seront au rendez-vous avec une sélection très pointue.

Ce lieu de vie éphémère est un espace unique et élégant où l’on peut venir entre amis pour se retrouver, découvrir, s’amuser et shopper.

Se rendre au Quartier Moderne, c’est l’occasion de découvrir le travail de jeunes créateurs trendies, qui ne sont pas toujours visibles, dans une ambiance conviviale et unique, grâce à la détermination d’Anne Paillot et de Marie-Barbara Moles-Pontallier.

Le Quartier Moderne propose aussi des labos créatifs et culinaires un coin fooding, un bar, un concert d’autres surprises à découvrir sur place !

Les créateurs :

Loulou dans la bergerie / Bertille / CHUT by Sew & Laine / Marie Youki et son Fashion Truck / Jolies Mômes / Merced River / Jancovek / Cetus Biarritz / Narcissik.me / Arsène Espadrilles / Albertine / Ema Tesse / Edithetmoi / Noon Shop…

Facebook / Instagram @quartiermoderne

Domaine de Larbéou, chemin d’Estebot, 64100 Bayonne
Samedi 7 juin 2014 de 10h à 22h et dimanche 8 juin 2014 de 10h à 19h.
Entrée 2€ – Gratuit pour les moins de 12 ans.

Cannelle Wane

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EDITO by Vania Laporte, une histoire de famille https://modarts.fr/edito-by-vania-laporte-une-histoire-de-famille/ https://modarts.fr/edito-by-vania-laporte-une-histoire-de-famille/#comments Mon, 28 Apr 2014 13:47:07 +0000 https://modarts.fr/?p=1117 0W0A0817 A Bordeaux, ce ne sont pas les coiffeurs qui manquent. Mais Vania Laporte a su se différencier en valorisant la qualité et l’écoute de ses clients. Le 8 avril dernier, […]]]> 0W0A0817
 A Bordeaux, ce ne sont pas les coiffeurs qui manquent. Mais Vania Laporte a su se différencier en valorisant la qualité et l’écoute de ses clients. Le 8 avril dernier, c’est en collaboration avec sa fille qu’elle a inauguré EDITO by Vania Laporte au cœur du quartier Saint-Eloi. 
 

EDITO, l’héritage familial

Le talent de Vania Laporte n’est plus à prouver. Connue par les bordelais et reconnue dans le milieu de la coiffure, Vania possédait déjà trois salons à son nom, à Talence, à Caudéran, et rue Vital Carles à Bordeaux. Pour Edito by Vania Laporte, elle confie les rênes à sa fille Constance qui propose toujours des prestations de haute-qualité dans une dynamique plus urbaine. 

2_905Avant de s’installer à son compte, Constance Laporte, 26 ans, a assisté Vania et exercé dans des salons bordelais, mais également en Angleterre et en Suisse. Forte de ces expériences, puisqu’elle a gagné le Concours Tribute dans la catégorie Jeunes Talents et terminé dans les 10 gagnants du Concours Haute Coiffure Française, c’est tout naturellement qu’elle décide lors de son retour à Bordeaux de créer son propre salon, épaulée par sa mère. 

Au 21 de la rue Saint James, la jeune femme s’est installée dans le lieu où autrefois, sa grand mère tenait elle aussi un salon de coiffure. C’est donc en perpétuant l’histoire familiale qu’elle a imaginé cet endroit, à la fois chic et urbain.

Avec son frère Paul-Alexis, elle a conçu un salon moderne, presque avant-gardiste, tout en longueur, alliant différents styles, matières et ambiances. La partie avant, très architecturée, est réservée à l’accueil de la clientèle et au coiffage. S’en suit un coin « tisanerie », puis la partie arrière qui sert de salle d’attente, composée de matériaux chinés, où les clients pourront patienter accompagnés de livres choisis avec soin et d’Ipad ayant accès à internet.

L’équipe d’EDITO est composée de membres formés par Vania ce qui garantit le professionnalisme et la qualité du travail fourni. Inspirée par les coiffures anglo-saxonnes, et le style ethnique, Constance qui propose tout genre de coupes, se décrit comme « capilothérapeuthe ». Avec son équipe, elle allie savoir-faire et rapport humain afin de trouver avec le client, la coupe parfaite qui lui permettra d’affirmer sa personnalité. 

Plus qu’un salon, un lieu unique

Le lieu, l’ambiance, le personnel, tout à été pensé pour que la clientèle se sente bien, de son entrée à la sortie du salon. Pour cela, Constance aVANIA S-S 14 5 également imaginé des tarifs pour les jeunes adultes, une carte de fidélité, des services personnalisés et des horaires d’ouvertures aménagés. L’idée est de s’adapter au quartier, plutôt jeune et moderne afin de toucher une clientèle polyvalente, tout en conservant une qualité de prestation et d’écoute propre aux salons crées par sa mère. 

Plus qu’un salon de coiffure, EDITO by Vania Laporte se veut comme un lieu de rendez-vous, qui accueillera tout au long de l’année des expositions, des concerts ainsi que des after-works mensuels sous forme d’ateliers coiffure. Le pari s’annonce réussi pour la jeune femme qui de par son talent, ses qualités humaines et l’aide précieuse de son entourage a su créer un lieu unique correspondant aux valeurs des salons Vania Laporte.

 Retrouvez EDITO by Vania Laporte au 21 rue Saint James à Bordeaux et sur Facebook

 

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DODA, de l’ordre et de l’absurde https://modarts.fr/doda-de-lordre-et-de-labsurde/ https://modarts.fr/doda-de-lordre-et-de-labsurde/#comments Mon, 17 Mar 2014 08:34:03 +0000 https://modarts.fr/?p=997 2-image-page-facebook-inauguration-1Une rencontre, un concept store Lise Grelier est styliste-modéliste-costumière. Diplômée d’ESMOD International, elle a travaillé en tant que costumière dans le cinéma à Paris. Après quelques années d’expérience, elle s’installe […]]]> 2-image-page-facebook-inauguration-1

Une rencontre, un concept store

Lise Grelier est styliste-modéliste-costumière. Diplômée d’ESMOD International, elle a travaillé en tant que costumière dans le cinéma à Paris. Après quelques années d’expérience, elle s’installe à Bordeaux et ouvre un showroom. Aujourd’hui, elle propose de redonner vie aux vêtements anciens, oubliés, et d’en faire une relecture. Son travail s’articule également autour de la création sur mesure et des arts plastiques. Inspirée des coupes d’époque, Lise Grelier donne sa griffe au vintage.

Installation de DODA (58)-1Thibaut Renesson Philipon est enseignant en lettres et plasticien. Deux parcours différents, une seule passion commune.Ensemble, ils ont voulu créer un lieu réunissant leurs deux univers, avec une seule volonté : modifier les réflexes des consommateurs en les familiarisant avec l’esthétique des choses singulières pour les détourner de l’ordinaire. DODA - De l’Ordre et De l’Absurde est un concept store convivial, qui invite à la discussion et à l’échange. Un lieu où passer un agréable moment, et créer des rencontres entre clients éclectiques.

Mode, art et design 

Ouvert depuis le 18 février au 72 rue Judaïque à Bordeaux, DODA rime avec mode, art et design : de la création de vêtements, des œuvres d’art originales, ainsi que des objets vintage. Des pièces uniques à des prix accessibles : un pari relevé et réussi par nos deux jeunes artistes. Amateurs de contemporain et fans de vintage, leur boutique est le reflet de leur univers. Un concept novateur sur notre région qui en séduira plus d’un !

Vente Lise (17)-1

D’ici quelques mois, de nouveaux projets verront le jour à DODA : une collection de vêtements en partenariat avec deux autres créatrices, de nouveaux artistes, des évènements sur toute l’année… Un avenir prometteur, qui, nous le souhaitons, ravira les bordelais !

DODA, De l’Ordre et De l’Absurde
72 rue Judaïque à Bordeaux
05 56 12 32 79
[email protected]

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A la découverte d’un plasticien bordelais https://modarts.fr/a-la-decouverte-dun-plasticien-bordelais/ https://modarts.fr/a-la-decouverte-dun-plasticien-bordelais/#comments Thu, 06 Mar 2014 14:23:27 +0000 https://modarts.fr/?p=978 F-Bournigault-3J’ai eu le plaisir d’aller à la rencontre d’un plasticien bordelais, François Bournigault, exerçant depuis plus de 8 ans son métier avec passion et détermination. Il m’invite à entrer dans […]]]> F-Bournigault-3
J’ai eu le plaisir d’aller à la rencontre d’un plasticien bordelais, François Bournigault, exerçant depuis plus de 8 ans son métier avec passion et détermination. Il m’invite à entrer dans son univers créatif et répond à mes questions.

Pouvez-vous tout d’abord nous expliquer en quoi consiste votre métier de plasticien ?

Le plasticien a pour média d’expression artistique des techniques ou des supports matériels variés. Cela me permet de m’exprimer à travers divers supports tels que des installations, des travaux à partir de photos, ainsi que de réaliser du travail graphique. Cela me permet de ne pas rester figé dans un seul média. Ce qui m’intéresse le plus, c’est de pouvoir exprimer un certain nombre d’idées à travers une multitude de matériaux. J’aime beaucoup parler des personnes, des réflexions sur la société, et de l’actualité. Je m’intéresse toujours à l’humain à travers mes œuvres.

Installation Cérébralaroïd François BournigaultDepuis quand exercez-vous ce métier ?

Il y a 8 ans, j’ai décidé d’arrêter de travailler en entreprise. Auparavant, j’ai fait d’autres métiers qui m’ont beaucoup apportés. Pendants 2 ans, j’ai travaillé de façon intense mon travail de plasticien afin de me remettre sur les rails et avoir un véritable travail professionnel.

Quels sont vos principaux objectifs à atteindre ?

Mon objectif principal étant de pouvoir exposer dans des lieux professionnels. Je souhaite faire avant tout des expositions. Je participe à beaucoup d’expositions collectives, cela me permettra plus tard de réaliser des expositions personnelles.

 Qu’aimez-vous en particulier dans les expositions ?

 Il s’avère intéressant d’avoir un réel échange avec les autres exposants, nous nous apportons mutuellement et cela deviens un véritable enrichissement pour moi. De plus, cela me permet de travailler sur des thèmes que je n’aborderai pas forcément. J’aime ne jamais refaire la même chose. Il me parait essentiel de toujours continuer à s’enrichir.

Êtes-vous actuellement sur un projet ?

Je suis sur un projet qui sera présenté dans une Eglise fin octobre. Elle sera basée sur le culte de guérison. Ce sera un travail plus photographique. Je travaille, en effet, essentiellement avec le logiciel de retouche Photoshop. Je juxtapose pleins d’éléments grâce aux différents calques. J’ai le projet de participer à la journée du patrimoine. Nous avons pour projet avec un collectif de faire une exposition que nous avons créé à six. Cependant, je reste quelqu’un de très ouvert à toutes les opportunités qui s’offrent à moi et j’aime bien ce qui se passe au fil de l’eau. J’ai quelques contacts dans le Sud, où des photographes ont mis à disposition des lieux pour exposer. J’ai été convié à me joindre à ces photographes. Je me laisse, en réalité, emporter par les événements.

 Quelles démarches commerciales et de communication utilisez-vous pour vous faire connaitre et pour vendre vos œuvres ?

Je possède un site internet. En réalité, je ne cherche pas à avoir une grande carrière au niveau international, je cherche avant tout à exister au niveau régional et national en réalisant des expositions dans la France entière. Je participe régulièrement à des manifestations un peu reconnu sur Bordeaux tels que les expositions « Art Chartrons » auxquelles j’ai participé deux fois. J’utilise essentiellement le contact direct qui m’aide à me faire connaitre à travers mes différentes œuvres. Cela me permet d’avoir plus d’opportunités. Mon objectif d’aujourd’hui c’est de me faire plaisir avant tout, et ce n’est pas de rentrer dans des obligations. Si c’était le cas, j’aurai probablement une stratégie différente que celle d’aujourd’hui.

 Rendez-vous sur le site de François Bournigault, et rentrez dans son univers de plasticien. 

 

 

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Une philosophie de vie sous quelques coups de pinceaux https://modarts.fr/une-philosophie-de-vie-sous-quelques-coups-de-pinceaux/ https://modarts.fr/une-philosophie-de-vie-sous-quelques-coups-de-pinceaux/#comments Tue, 04 Feb 2014 19:27:12 +0000 https://modarts.fr/?p=897 Copyright Joëlle Kem LikaPassionnée depuis son plus jeune âge, Joëlle kem Lika est revenue à ses premiers amours après 25 années de psychologie et sophrologie. Une galerie à Paris, des expositions dans le […]]]> Copyright Joëlle Kem Lika

Passionnée depuis son plus jeune âge, Joëlle kem Lika est revenue à ses premiers amours après 25 années de psychologie et sophrologie. Une galerie à Paris, des expositions dans le monde entier, et tout juste revenue d’un voyage à Miami… Retour sur le succès international d’une artiste peintre aux inspirations multiples.

Joelle Kem Lika

Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Joëlle kem Lika, de nationalité française, mon mari est d’origine française également, mais son père était d’origine polonaise… ce qui me donne ce joli nom, un peu étrange; enfin je trouve. J’ai 59 ans, j’ai vécu mon enfance à Lacanau Océan près de Bordeaux et surtout près de l’Océan Atlantique, des plages à perte de vue et des forêts de pins. Un côté sauvage que j’adore.

Quel a été votre parcours de vos débuts à aujourd’hui ?

Enfant j’étais douée pour le dessin, j’ai gagné quelques petits concours d’école primaire.
J’ai toujours aimé dessiner, colorier, peindre. J’avais besoin de ces moments de calme, de concentration pendant ma scolarité. Besoin de créer du beau.

À 20 ans, je suis allée vivre à Paris. J’ai suivi pendant 2 ans les cours de l’atelier Albers, dirigé par deux peintres architectes, et préparatoire à des écoles d’art. Ces cours de formation technique m’ont permis de travailler les perspectives, les dessins, les croquis de nus…

À l’époque je voulais être décoratrice d’intérieur, mais j’ai découvert aussi la sophrologie, la psychologie, et une nouvelle passion est née, je trouvais cela moins frivole que la décoration. J’avais besoin de comprendre et vivre ces expériences, de psychothérapie pour moi-même et ensuite aider d’autres personnes.

J’ai continué à dessiner pour moi-même, j’ai visité énormément d’expositions : j’aime le monde de la peinture, et j’avais envie de me cultiver, de me former l’œil.  J’ai recommencé grâce à ma fille, à peindre, dessiner pour passer de bons moments de création avec elle, et je me suis à nouveau passionnée. Des moments de plaisir pur. Je me suis inscrite à des cours pour adultes aux Beaux-Arts d’Auxerre. J’ai une maison de campagne près de Chablis, à côté, en Bourgogne. J’ai suivi 10 années de cours avec deux professeurs peintres, un vrai régal. Je retrouvais le bonheur de créer sans enjeu autre que le plaisir, la recherche. Une légèreté que mon métier de psy ne me permettait pas. J’ai également suivi 3 stages d’aquarelle, et un de peinture abstraite à la truelle.

Copyright Joëlle Kem Lika

Copyright Joëlle Kem Lika

Comment est née cette passion pour la peinture ?

À force de travailler en psy avec des souffrances humaines profondes, j’aimais me ressourcer en dessinant et peignant des fleurs, des abstraits, inspirés par les ciels. J’avais besoin de retrouver des choses simples et belles. Visiter des expositions de peintres reconnus ou nouveaux étaient aussi une de mes activités préférées. Des moments de loisirs personnels. Retrouver des émotions plus douces, et associées à la paix. Des moments de « réparation » pour pouvoir donner ensuite aux autres une certaine joie de vivre. Cela aide à guérir. Redonne de l’espoir. Et la surprise de créer des belles choses. En tout cas des œuvres que j’aime. La peinture pour moi, est toujours associée à des bonnes « vibrations ».

Que représente la peinture pour vous ?

La peinture représente un havre de paix, une manière d’exprimer ce que j’ai compris. C’est une ressource de plénitude, comme une méditation active. Je me concentre, je retrouve la paix, et j’ai envie de transmettre cette paix, ou l’espoir, la joie aux personnes qui regardent mes œuvres.

J’ai moins envie de parler, d’analyser, et plus de toucher avec des images, d’apaiser. C’est un mode d’expression et une philosophie de vie, une sorte de militantisme dans ce monde difficile, et souvent douloureux. Depuis mes débuts en psy et, après mes trente-cinq années de pratique, j’ai pu voir que nous avons tous une pulsion de vie en nous très peu écoutée. La peinture c’est renommer l’existence de cette pulsion de vie ; à travers mes fleurs, mes abstraits qui parlent de la beauté des ciels, de la mer, des vagues, et défendre l’énergie féminine de la planète avec mes surfeuses. Une métaphore pour parler de la vie : nous surfons tous sur une vague de notre vie… allons-nous bien la vivre ?

Vous étiez psychothérapeute et sophrologue durant 25 ans. Quel a été le déclic qui vous a permis de vous lancer dans cette aventure ?

A 51 ans, après tant d’années à écouter les autres, les aider, j’ai eu envie de vivre ma vie, d’appliquer mes idées. Je me suis formée, très jeune, à la psychopathologie en fac, à l’analyse transactionnelle dans les années 80, à la PNL aussi, à la Bio Énergie. J’ai toujours voulu rassembler le corps et l’esprit. Et après tant de mots, j’avais envie de vivre plus dans le silence, la nature, et de retrouver ma spontanéité. En psy il faut faire attention à tout ce que l’on dit pour laisser l’espace au patient, en dire le moins possible. Le déclic c’est sûrement l’appel de ma liberté, ne plus avoir les charges lourdes de  mon bureau. Le déjà connu de 25 ans de pratique. Ce besoin de renouveau.

Pensiez-vous arriver à  une telle reconnaissance actuelle, et participer à de nombreuses expositions internationales ?

Je ne pensais pas que cela irait aussi vite, et d’un coup ! Je pensais que cela se passerait en France pour moi. Après une exposition au Grand Palais en novembre 2012; le Salon des Indépendants, j’ai été contactée par de nombreux galeristes, et j’ai choisi de travailler avec quelques-uns, à New York, et à Miami. J’ai également beaucoup voyagé en Europe : Rome, la Toscane, Berlin, Vienne, Londres. J’ai adoré cette année 2013, très « sportive » car j’avais des expositions programmées en France, que j’ai dû assurer. Beaucoup de bonheur,  des découvertes de villes, de pays et surtout de personnes, d’autres artistes. Parler, échanger. Un autre monde pour moi. Je ne suis plus jeune, mais je trouve ma vie cohérente, et riche d’expériences différentes. Je me sens confiante, je m’assume telle que je suis, et j’assume mes toiles, mon style. Par contre, je suis une jeune artiste, toute neuve et pas blasée du tout.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

Mes sources d’inspiration sont la nature, la vie, l’énergie vivante de tout ce qui vit sur notre planète : fleurs, arbres, terre, l’océan, les vagues, la force et la puissance de la vie. Je cherche à traduire tout cela entre abstrait et figuratif. De l’expressionnisme abstrait.
J’ai aussi mis une fille au monde, je suis une femme : j’ai envie de défendre les femmes, de leur dire qu’elles sont aussi puissantes. Il y a tellement de violence faites aux femmes, dans le monde. Cela me touche énormément. J’ai créé ce « surf dreaming », un de mes thèmes de travail (j’en ai 4), pour peindre des femmes contemporaines et en même temps avec les tattoos inspirés de l’art aborigène, pour rappeler le côté ancestral de la présence des femmes sur la planète.

Copyright Joëlle Kem Lika

Copyright Joëlle Kem Lika

Quelle a été votre première exposition en France ? Et à l’international ?

Ma première exposition en France était à Paris. Une de mes amies avait aimé mes coquelicots géants, en acrylique sur toile, qui décoraient ma salle d’attente. J’avais un bureau de psy dans un grand loft du Marais à Paris, et j’avais assorti mes peintures à mes rideaux rouge en taffetas, tout simplement. Ce sont mes coquelicots qui m’ont fait connaître. Pour l’international, New York en décembre 2012, l’effet « waouh » sur tous les plans. C’était Noël pour moi.

Aimeriez-vous avoir votre propre galerie d’art ? Si ce n’est pas déjà le cas…

J’ai une galerie d’art dans le 2ème arrondissement de Paris, depuis mars 2010. Une en Bourgogne, dans l’Yonne, près de Chablis,  depuis mars 2007, avec salon de thé. Et un atelier à visiter en Aquitaine, à Lacanau Océan, une très belle cabane en bois vitrée. J’aime tous mes lieux, des styles tout à fait différents !

Quels sont vos projets pour la suite ?

Mes projets sont de continuer à peindre, j’ai envie de continuer à explorer mes 4 thèmes de prédilection :

  • l’abstrait
  • les fleurs, les arbres
  • le surf dreaming,
  • et les vagues, l’océan.

Sur papier en aquarelle, en encre en acrylique sur toiles.Et progresser, progresser encore . Voyager aussi si possible pour des expositions dans le monde entier. Ce serait magnifique ! En France, j’aimerai développer mes galeries pour exposer ensuite peut être d’autres artistes avec lesquels j’aurais eu un coup de cœur, et qui défendent les mêmes valeurs.

 

 

 

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Salon des créateurs et des ateliers d’art https://modarts.fr/salon-des-createurs-et-des-ateliers-dart/ https://modarts.fr/salon-des-createurs-et-des-ateliers-dart/#comments Mon, 18 Nov 2013 07:25:21 +0000 https://modarts.fr/?p=735 91082790_oLe salon 2013 : mélange d’authenticité, de talents et d’originalité Organisé avec le soutien de la ville de Bordeaux et du Conseil Régional d’Aquitaine, le Salon des Créateurs et des […]]]> 91082790_o

Le salon 2013 : mélange d’authenticité, de talents et d’originalité

Organisé avec le soutien de la ville de Bordeaux et du Conseil Régional d’Aquitaine, le Salon des Créateurs et des Ateliers d’Art, a accueilli pour cette 6ème édition 110 d’artisans d’art dont 26 créateurs de la région réunis au sein du Pavillon Aquitain.

P1060214Cet événement a offert aux visiteurs l’opportunité de rencontrer et de découvrir la diversité des métiers d’art à travers de nombreuses animations et d’apprécier le savoir-faire des artisans répartis sur 5 secteurs :

  • Intérieur & Habitat
  • Bijoux
  • Objets de table
  • Mode & accessoires
  • Luminaires

 

 

 

 

 

Le salon des Créateurs et des Ateliers d’Art de Bordeaux fête ses 5 ans !

L’idée est née en 1998, à l’initiative d’Ateliers d’Art de France (premier syndicat professionnel des métiers d’art rassemblant à ce jour 5400 artistes, artisans et manufactures à travers la France) qui avaient pour envie de soutenir les Créateurs et Artisans d’Art et ainsi d’encourager le savoir-faire français reconnu à l’international. Première édition à Paris qui connait un franc succès, Ateliers d’Art de France décide de continuer l’aventure en région lilloise et quelques années plus tard dans la métropole bordelaise. Son concept, emblématique de sa réussite, fait de lui la destination idéale d’une centaine de créateurs et artisans d’art talentueux grâce à une sélection antérieure par un jury de professionnels.

Une scénographie sur le thème de l’art

Sous la direction de la styliste décoratrice Mara Morin et grâce à de nombreux partenariats noués avec les élèves d’écoles de la région Aquitaine, le Salon des Créateurs et des Ateliers d’Art déclinait cette année le thème de L’ART , NATURELLEMENT… à travers différents expositions et temps forts pendant les trois jours du salon.

Un pavillon aquitain des métiers d’art

P1060224Pour la 3ème année consécutive, le Conseil Régional d’Aquitaine s’est associé à Ateliers d’Art de France pour accueillir au cœur du salon un pavillon aquitain des métiers d’art. L’objectif de ce stand collectif est de valoriser les artisans d’art de la région et de leur permettre d’exposer pour la première fois au salon à des tarifs avantageux.

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Lumière sur Gaël Coat https://modarts.fr/lumiere-sur-gael-coat/ https://modarts.fr/lumiere-sur-gael-coat/#comments Tue, 15 Oct 2013 19:15:12 +0000 https://modarts.fr/?p=707 9552_10200887437212805_484116434_nGael Coat, jeune photographe de 28 ans originaire d’Orthez est un amoureux des belles lumières. Ces lumières qui lui permettent de naviguer entre portrait et photo de mode en un […]]]> 9552_10200887437212805_484116434_n

Gael Coat, jeune photographe de 28 ans originaire d’Orthez est un amoureux des belles lumières. Ces lumières qui lui permettent de naviguer entre portrait et photo de mode en un instant. A travers ses créations, il met en beauté ses modèles dans une ambiance esthétique qui lui est si personnelle.

Le photographe nous invite à découvrir son univers entre deux séances photo.

Pour ceux qui ne vous connaissent pas, pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

J’ai étudié la photographie au Lycée Molière à Orthez, ma ville natale, où j’ai passé mon Cap et Bac Pro. C’est là que j’ai conçu mes premières images. J’y ai créé des forêts brumeuses, des plaines enneigées ou encore des petites villes en carton. Pour la réalisation de mon épreuve du Bac Pro j’avais choisi de présenter mon portfolio en images animées, qui retraçaient les Aventures de Fliquette, un flacon de parfum à qui il arrive milles péripéties. Ce projet, qui est longtemps resté dans ma tête m’a permis d’intégrer un Studio Parisien comme assistant plateau. En 2007, après deux années très enrichissantes j’ai décidé de revenir dans le Sud et d’emménager à Bordeaux.

Pourquoi avez-vous choisi de vous tourner vers la photographie ?

Le déclic a eu lieu lorsque j’avais 14 ans quand mon père m’a prêté son vieil Olympus. Je prenais en photo tout et rien jusqu’au jour où j’ai photographié ma meilleure amie.

Je me souviens de ce jour dans les moindres détails! J’ai dû utiliser une vingtaine de films 36 poses, entrant presque dans une transe à vouloir fixer tous ses gestes, ses expressions… J’avais fait du grand art ! Mais quel ne fut pas ma déception au développement, il ne devait y en avoir que trois ou quatre de bonnes!…

A l’époque il n’y avait pas de mode automatique sur les appareils, et je me contentais d’appuyer sur le déclencheur sans savoir ce qu’était un diaphragme, un obturateur…

Mais je ne suis jamais resté sur cet échec, renouvelant l’expérience jusqu’au jour ou j’ai convaincu mes parents d’intégrer une école de photo. Ils m’ont toujours soutenu et encouragé dans mes projets et ont alors accepté.

D’où provient votre inspiration ?064 V2 BDDD

Beaucoup de clichés que je réalise proviennent de bouts de rêves, d’ambiances et de moments vécus… Ces morceaux tournent dans ma tête jusqu’à ce qu’ils s’alignent parfaitement et deviennent une évidence: le visuel est prêt, il peut donc être réalisé !

La musique et le cinéma décuplent aussi beaucoup ma créativité.

Avez-vous des artistes de prédilection ?

L’artiste Jean Paul Goude est celui qui m’a le plus marqué, de mon enfance à aujourd’hui. A une période j’ai eu beaucoup de mal à avoir mes propres idées, tellement tout ce qu’il faisait m’influençait. Mes amis étaient fans de chanteurs, acteurs, sportifs, ma star à moi c’était Jean Paul Goude ! J’affectionne aussi beaucoup le travail de Pierre & Gilles, Marino Parisotto, et les films de Tim Burton provoquent en moi une explosion d’émotions!

Comment préparez-vous un shooting et comment se déroule-t-il ?

Une fois que l’idée a mûri, je commence par tous les éléments techniques. Je crée tous mes fonds à partir de matériaux variés. Tissus, matte paintings, tapisseries, morceaux de papiers, branches d’arbre… Afin d’arriver à quelque chose d’assez réaliste. Puis j’imagine une lumière qui collera bien au thème. Enfin, je recherche les personnes dont le travail correspondra le mieux au thème : coiffeur, maquilleur, styliste et modèle.

Le décor monté en studio il faudra un long moment pour caler la lumière afin qu’elle soit cohérente entre le fond et le modèle. Pour terminer, une sélection minutieuse sera faite et le cliché retenu sera alors retouché afin de parfaire l’ensemble.

Lorsque vous commencez une œuvre, avez-vous une idée précise de l’aboutissement final ?

La plupart du temps , oui car j’aime me cantonner à ce que j’ai imaginé. Mais il est possible qu’une séance bascule brusquement dans une autre ambiance et donc le rendu diffère légèrement de l’idée originale.

Capture d_ecran 2013-10-14 a 22.21.31Vos clichés sont souvent esthétiquement liés à la mode, pourquoi avoir choisi ce point de vue pour vous exprimer dans la photographie ?

Car la mode est parfaite ! Souvent je ne peux pas dire moi-même s’il s’agit d’un portrait ou d’une photo de mode, car je suis coincé entre les deux! Mais j’aime les rendus très léchés.  J’aime quand l’œil du spectateur aille où je veux qu’il aille, et je pense qu’un créateur de mode fait la même chose, il contrôle les matières, les volumes afin d’offrir à l’œil un spectacle parfaitement maîtrisé. J’aime à me dire que je fais la même chose avec ma lumière.

Qu’aimeriez-vous que les gens ressentent en regardant vos photos ?

J’aime quand le spectateur ressent de l’étonnement, puis qu’il se dise « mais comment a-t-il fait? ». C’est ce que je ressens au dénouement d’un bon film, ou au final d’un feu d’artifice. Quand il y a l’effet « Wouaouh » c’est que le travail d’équipe a fonctionné !

Quels conseils pourriez-vous donner à de futurs photographes ?

Soyez-vous même, soyez fous pour croire à vos projets, et osez !

Si la passion est vraiment là alors ce sera instinctif.

www.gael-art.book.fr

 

Quentin Gousseau

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